LA 4e édition du Festival TEC à Saint-Julien-en-Genevois aura lieu du 1er au 7 février 2025, à L’Arande, ne manquez pas ce rendez-vous incontournable qui promet de nourrir votre curiosité et d’éveiller votre sensibilité à l’environnement.

LA 4e édition du Festival TEC à Saint-Julien-en-Genevois aura lieu du 1er au 7 février 2025, à L’Arande, ne manquez pas ce rendez-vous incontournable qui promet de nourrir votre curiosité et d’éveiller votre sensibilité à l’environnement.
La prochaine assemblée générale de l’APEF aura lieu le mercredi 13 novembre à 20h dans la salle Carrefour des jeunes de Feigères.
Nous recherchons à recruter de nouveaux membres actifs et motivés pour s’investir dans l’association et reprendre des fonctions au sein du bureau.
Si vous, ou des personnes de votre entourage, souhaitez vous investir encore plus pour la commune, son environnement et le bien-être de ses habitants, nous vous invitons à nous contacter et vous faire connaître.
Merci !
Pour la 3e année consécutive, l’APEF participe à la Journée mondiale du nettoyage de la planète et organise une matinée de ramassage des déchets, sur Feigères et ses hameaux.
Venez participer, le samedi 21 septembre à 9h au nettoyage en vous baladant durant 2 heures dans notre belle commune. Rendez-vous devant la mairie de Feigères pour un café et le briefing.
Vous avez des téléphones mobiles, anciens ou récents, en fonctionnement ou hors service, dont vous ne vous servez plus ?
Suite au succès du Digital Cleanup Day, l’APEF a décidé de poursuivre l’événement et son action en mettant en place une GSM Box et ainsi concourir à une utilisation plus longue des équipements numériques ou à leur seconde vie.
Alors venez les déposer dans la GSM Box mise à votre disposition à la boulangerie de Feigères (un grand Merci à Miwa et Romain pour leur soutien et participation). Vous pouvez y déposer vos téléphones portables, ancienne ou nouvelle génération, en fonctionnement ou hors service.
Par cette action, vous permettrez le réemploi ou le recyclage de ces appareils, et ainsi participerez activement à la diminution des déchets d’équipements électriques et électroniques !
Les progrès technologiques et le développement du numérique sont à la base de grandes avancées. En plus de faciliter la vie des personnes, ils sont à la base de l’amélioration de bien des processus. Cependant, la facture de ces avancées est plutôt salée pour l’environnement. En effet, le numérique est responsable de 4 % des émissions de gaz à effet de serre. Et les estimations amènent les spécialistes à dire que ce chiffre pourrait doubler d’ici à 2025. Par ailleurs, un matériel électronique tel qu’un smartphone est composé de plus de 50 matériaux.
L’utilisation de ces ressources occasionne environ 70 % des effets du numérique sur l’environnement. Et ce n’est pas tout. Plus de 30 milliards d’équipements numériques, dont la fabrication entraîne un gros impact numérique, sont actuellement en service sur notre planète.
De plus, le stockage massif de données sur ces appareils raccourcit leur durée de vie, ce qui entraîne alors leur renouvellement. C’est donc un cercle vicieux qui s’entretient et se développe au fil des ans.
Cette forme de pollution, malgré son ampleur, attire encore peu les attentions. Cependant, les chiffres sont alarmants :
En ce qui concerne les déchets d’équipements électriques et électroniques (DEEE), une étude de l’ONU révèle que leur production a fait un bond de 28 % entre 2014 et 2019. Ainsi, c’est plus de 53 millions de tonnes de DEEE qui sont générées par l’ensemble de la population mondiale.
Plus de la moitié de ces déchets est acheminée vers les pays pauvres d’Afrique et d’Asie spécifiquement. Ils y atterrissent dans des décharges à ciel ouvert.
Ils sont alors manipulés par des enfants et des adultes sans aucune précaution ni respect des normes de sécurité, aussi bien pour leur santé que pour l’environnement.
Pour pallier de manière efficace et efficiente repose sur deux actions :
Le réemploi des DEEE est une option salutaire pour l’environnement. L’éco-organisme Ecologic, à travers sa plateforme de collecte de déchets d’équipements électriques et électroniques e-déchet, est un partenaire stratégique et très actif dans cette réalisation.
Elle consiste à ressortir vos anciens équipements rangés aux placards. Il peut s’agir des ordinateurs, des smartphones, des tablettes et autres équipements du genre, pourtant encore fonctionnels, et leur donner une seconde vie.
Ecologic souhaite l’adhésion des organisations et entreprises à cette initiative pour la collecte d’un maximum de déchets. C’est en effet le moment de vous engager à travers une action efficace.
Cela permettra de :
Le recyclage est un volet phare sur lequel travaille Ecologic. Il s’agit ici de récupérer l’ensemble de déchets électriques et électroniques qui fonctionnent ou non. Ils sont alors envoyés dans un centre de traitement où ils sont traités et valorisés. Les composantes utiles sont extraites et utilisées pour fabriquer d’autres appareils qui sont remis sur le marché. Le reste est détruit dans le strict respect des normes de sécurité. Le recyclage est utile à bien des égards. Il permet en effet de :
Bonne nouvelle, l’APEF participe cette année au Festival du Film Vert !
Rendez-vous le mercredi 20 mars à 20h à la salle polyvalent de Feigères pour la projection du film La Théorie du boxeur suivi d’un échange avec des agriculteurs locaux.
Sans oublier les autres projection organisées sur le territoire du 7 mars au 4 avril : voici le programme complet
Article issu du site web du gouvernement : https://www.notre-environnement.gouv.fr
Notre alimentation a des impacts très variables sur l’environnement selon les produits consommés.
CO2 alimentation carnée : 1.6 tonne par an et par habitant
CO2 régime flexitarien : 1 tonne par an et par habitant
Ceci est lié au fait que la production de viandes et laitages est plus émettrice de gaz à effet de serre que celle des fruits et légumes. Toutefois, selon les études, le niveau d’émissions varie selon le type de produits carnés : un kg de bœuf émet beaucoup plus de gaz à effet de serre qu’un kg de poulet, par exemple. C’est en particulier dû au fait que les ruminants produisent d’importantes quantités de méthane, gaz qui contribue fortement à l’effet de serre.
Elevage 14.5 % des émissions de gaz à effet de serre, dont 9.3 % pour les bovins
70% des terres agricoles mondiales sont utilisées pour l’élevage, dont une partie est issue de la déforestation
Article issu du site web du gouvernement : https://www.mangerbouger.fr/
Vous en entendez de plus en plus parler à la TV, dans les magazines, dans votre entourage… Mais être flexitarien, ça veut dire quoi ? Est-ce que tout le monde peut l’être ? Que peut contenir un panier flexitarien ?
Contrairement à d’autres pratiques alimentaires, comme le régime végétarien ou le régime végétalien, le régime flexitarien n’impose pas d’exclusion alimentaire. L’idée est de, à son niveau et à son rythme, aller vers une alimentation plus « durable » en augmentant les sources de protéines végétales dans ses menus et en diminuant certaines sources de protéines animales comme la viande et le poisson. Être flexitarien, c’est donc diversifier davantage son alimentation et pouvoir consommer tous les groupes d’aliments, mais dans des proportions différentes. Ce sont seulement les fréquences de consommation et les quantités de viande et de poisson qui vont varier.
On peut tout à fait manger équilibré en ayant un régime flexitarien ! Puisqu’il rejoint les recommandations alimentaires officielles, le flexitarisme peut être pratiqué par tous.
C’est une alimentation respectueuse de l’environnement, accessible économiquement et socialement équitable, qui vise à nourrir les femmes et les hommes en qualité et en quantité suffisante, aujourd’hui et demain.
Moins de viande, de charcuterie, de poisson mais plus de légumes secs, de féculents complets
Être flexitarien, c’est chercher à limiter la quantité de viande et de poisson dans son assiette, sans pour autant les retirer définitivement des menus de la semaine.
La surconsommation de viande ou de poisson peut avoir un fort impact sur l’environnement – à cause de la déforestation, du transport, de la surpêche ou des productions intensives entrainant l’émission de gaz à effet par exemple.
On cherche à varier les sources de protéines avec des alternatives à la viande et au poisson, en consommant davantage de légumes secs (lentilles, haricots, pois chiches…) accompagnés de produits céréaliers complets (riz complet, pâtes et semoule complètes…), bons pour soi, pour la planète… et souvent moins chers que la viande ou le poisson !
Autant que possible, lorsqu’on suit un régime flexitarien, on cherche à augmenter sa consommation de fruits et légumes. L’idéal est d’en diversifier les variétés et de les intégrer dans des recettes variées : salades composées, soupes, gratins, tartes salées ou sucrées…
Privilégiez les fruits et légumes de saison, bons pour la planète mais aussi souvent moins chers ! Aidez-vous du Calendrier de saison pour choisir vos produits pour vos menus. Si possible, optez pour des fruits et légumes produits bio et locaux
Isabelle et Alexandre, 2 Feigèreois nous on concocté trois recettes testées et approuvées :
Consulter les recettes d’Isabelle et Alexandre
Autre source utilisée : https://impactco2.fr/repas